Initialement dédiée à la caractérisation d’un mode de commercialisation entre producteur et consommateur, la notion de circuit court a peu à peu intégrée des exigences géographiques et environnementales quant aux pratiques agricoles et aux types de produits commercialisés.
D’autre part, la dimension sociale inhérente aux circuits courts constitue également une source d’inspiration pour développer l’ancrage de l’agriculture biologique sur le territoire et promouvoir des liens producteurs-consommateurs socialement innovant et économiquement rentable.
Pour illustrer ce dialogue entre mode de production et mode de commercialisation, voici une boîte à outils mettant en avant l’importance de s’inspirer de la dimension sociale et collective dans les projets agricoles, y compris concernant l’agriculture biologique.
Souvent perçue comme un exemple de réponse à ces différentes considérations, la relation partenariale producteur-consommateur qui prévaut en AMAP (Associations de Maintien pour une Agriculture Paysanne) peut également être une source d’inspiration pour aller plus loin que les circuits courts traditionnels.
Dernière modification de cet article : 8 avril 2019