La vente directe du producteur au client fait partie des circuits courts en ce qu’elle permet de supprimer les intermédiaires qui ont une part non négligeable dans le coûts final du produit : marge rémunératrice de/des intermédiaires, services de transport, centrales d’achat, commerciaux, etc.

Notamment liée avec le développement de l’agrotourisme, la vente directe à la ferme est davantage considérée comme une continuité de pratiques déjà existantes dans le monde rural plutôt qu’une activité nouvelle. Avec la création de nouveaux outils informatiques et notamment l’e-commerce, celle-ci a néanmoins élargi son champs d’action et le nombre de ses potentiels acheteurs.

Mais la création ou la structuration de ce mode de commercialisation, doublé d’exigences concernant la transformation des produits en vente, doit être suffisamment bien préparée pour limiter les échecs et effets pervers.

D’autre part, pour répondre à des différenciations commerciales et d’adaptation au marché, certains producteurs ont développé la livraison à domicile pour compléter le vente directe à la ferme.


Dernière modification de cet article : 8 avril 2019

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